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 Azur Tamazight, artisane

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2 participants
AuteurMessage
Azur Tamazight
Nouvel arrivant
Azur Tamazight


Messages : 2
Date d'inscription : 26/12/2007

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MessageSujet: Azur Tamazight, artisane   Azur Tamazight, artisane Icon_minitimeMer 26 Déc - 4:50

FICHE D'IDENTITE

Nom :
Tamazight
Prénom : Taheyyâtt, dite Azur (diminutif d'Anazur, l'artiste)
Age : 26 ans
Nationalité : Algérienne (berbère)
Lieu de naissance : Tamanrasset (désert du Sahara, Algérie)
Lieu de résidence : une petite ville de Kabylie, au nord de l'Algérie
Famille : au moins sang-mêlé, peut-être sang-pur, Azur n'a jamais posé la question à son père, et à vrai dire, c'est le cadet de ses soucis
Père : Immeghar, 57 ans, touareg
Mère : Tadêfi, 42 ans, libraire et antiquaire (mais certaines de ses "trouvailles" ne sont pas tout à fait ordinaires...)
Frères, soeurs : Une ribambelle de frangins et frangines par son père dont elle ignorait tout jusqu'à son dix-huitième anniversaire et qu'elle a côtoyé une année, sans pouvoir aujourd'hui dire qu'ils ont réellement tissé des liens : Azur est bien trop indépendante...
Autres personnes importantes : -

FICHE SORCIER

Âge auquel vous avez arrêté l'école: C'est Tadêfi qui enseigna à Azur tout ce qu'elle sait. Pas d'école pour la jeune berbère, donc, et un enseignement qui sort quelque peu de l'ordinaire.
Ancienne maison: Si elle avait dû appartenir à une des quatre maisons, sans doute serait-ce Poufsouffle, pour sa fidélité à ses propres valeurs, ou Gryffondor, pour sa curiosité et son goût pour la découverte, qui l'aurait acceptée.

FICHE SIGNALETIQUE

Description physique :
Elle se décrit comme plutôt grande, filiforme, avec une crinière de lionne et des yeux bizarres. Si on lui demande plus de précisions, elle réplique qu’elle a des jambes de danseuse, des mains de sculpteuse, un cou de girafe et des traits de femme berbère, ce qui semble somme toute logique.

Pourtant, il y aurait un peu plus à dire sur cette femme aux allures un peu sauvages : ses grands yeux pairs aux reflets changeants de saphir, de turquoise, d’ocre et de lavande semblent s’émerveiller de tout, son visage fin, un peu trop maigre, trahit ses origines, et ses mains, aux doigts allongés sont des plus agiles dès qu’il s’agit de travaux d’artisanat.

Elle porte le plus généralement l’habit traditionnel berbère, la takchita, dans des tons d’ocre, de safran, de corail, de prune ou parfois de kaki. Chez elle, c’est pieds nus et cheveux au vent qu’elle se déplace. S’il lui faut se chausser, ce seront des sandales de cuir qui enserreront ses pieds. Il est rare de la voir sans le moindre bijou, tous ceux qu’elle porte sont de sa création ou réparés par elle, et plus encore de trouver une quelconque trace de maquillage sur sa peau.

Description mentale :
Liberté. Elle a l’esprit assez large, mais a du mal à comprendre les barrières qu’on peut imposer aux autres et s’imposer. Elle aime les grands espaces, la beauté de la nature sous toutes ses formes, et n’a parfois peut-être pas suffisamment conscience du danger. Une tempête de sable, un ciel ensoleillé, une nuit étoilée la ravissent, autant que l’éclosion d’une fleur, la naissance d’une gazelle…

Artiste. Danseuse, chanteuse, elle aime l’art de façon générale, et c’est parfois comme si elle quittait le monde réel pour en pénétrer un autre, imaginaire, peut-être connu d’elle seule. En général, après un chant particulièrement inspiré ou une danse endiablée, il lui faut un certain laps de temps pour reprendre ses esprits et revenir « complètement » sur Terre.

Epicurienne. Elle prend les choses comme elles viennent, sans trop se poser de question. Et globalement, elle est plutôt joyeuse dans l’ensemble. Bien sûr, il lui arrive d’être triste, ou en colère, mais il est bien rare qu’elle s’en plaigne. Habituée à vivre au jour le jour, elle considère que joies et peines, bonheurs et malheurs, font partie de la vie, et qu’il faut les accepter comme tels.

Vraie. Elle ne sait pas mentir, et est parfois un peu trop directe. A chaque question qu’on peut lui poser, elle répond en toute franchise, et avec le sourire, s’il vous plaît. Même si parfois, il ne s’agit pas de la réponse qu’on attendrait…

Particularités :
Son lien avec son familier, Tilelli, une gazelle tout aussi indépendante qu'elle. Contrairement à bon nombre de sorciers, Azur et son familier peuvent être distants de plusieurs dizaines, voire une centaine de mètres sans que cela ne leur pose de problème. Les touaregs l'appelaient Tazenkwêt avec un manque criant d’originalité, puisque ce prénom signifiait justement « gazelle », de la même manière que l'artisane s’était vue affubler du surnom charmant de Tazerwalt, « celle aux yeux bleus », à cause de ses prunelles claires. L’une comme l’autre ont complètement rayé ces prénoms qui ne les satisfaisaient pas dès qu’elles ont quitté le désert pour rejoindre la civilisation. Tilelli signifie « liberté », car c’est ce qui les caractérisait le mieux toutes les deux. Et il n’est pas rare, comme son nom le laisse supposer, que Til' s’éclipse parfois quelques jours, suffisamment pour profiter des grands espaces…
Peut-être peut-on aussi préciser sa capacité à "voir" les flux magiques. Sans qu'elle réalise vraiment ce que cela a de particulier, elle ressent comme si elle visualisait des ondes autour des sorciers, les flux qu'ils utilisent et qui les imprègne. Ce qui lui permet notamment de repérer les dysfonctionnements des artefacts qu'elle répare...

POUR LA PETITE HISTOIRE
Fille unique d’une mère seule, Azur a appris tardivement l’identité de son père et l’existence de la ribambelle de frangins qu’elle pouvait avoir, lors de son dix-huitième anniversaire. Jusque-là, elle avait vécu avec sa mère, apprenant à lire et à écrire dès son plus jeune âge, à identifier les objets qui pouvaient avoir de la valeur de simples bibelots, à remettre en état ces antiquités, surtout les bijoux, les livres. Peu à peu, elle s’est rendu compte que certains objets n’étaient pas tout à fait comme les autres. Maman lui a rapidement confié les clés pour comprendre les artefacts, pour manipuler leur magie et réparer les dommages qu’ils avaient pu subir.

Si elle a très vite appris le métier et acquis les connaissances nécessaires pour reprendre la boutique de sa mère, elle n’a jamais souhaité s’y installer. Tout simplement parce qu’une telle vitrine, fixe et immuable, bridait sa liberté. Et c’est après une discussion quelque peu houleuse avec Tadêfi qu’elle a décidé de retrouver son père, et qu’elle a vécu avec celui qui lui semblait être un symbole de liberté.

Avec la caravane, elle a découvert les plaines ensablées du Sahara et la majesté de la vie sauvage, vierge de toute intervention humaine – ou presque. Avec les femmes, elle a pris goût à la danse, au chant, à la musique, et a commencé à chercher à appliquer ses connaissances aux instruments de musique, de sorte qu’ils puissent les accompagner sans que jamais ne retentisse la moindre fausse note, qu’ils puissent battre la mesure toujours en rythme. Pourtant, quand ils lui présentèrent un des jeunes hommes de la caravane, qui pourrait devenir son époux, elle réalisa à quel point elle s’était trompée : la liberté qu’elle recherchait si ardemment ne se trouvait pas là, pas même dans cette hiérarchie matriarcale.

Elle est donc revenue vers la ville qui l’a vue naître, accueillie à bras ouverts par sa mère, et après de nombreuses discussions, plus sereines, elles sont parvenues à un terrain d’entente. Maman garderait la boutique, et elle travaillerait avec (et surtout pas pour) elle, parcourant les quatre coins du monde pour faire connaître son talent. Elle avait ainsi tout loisir de visiter tant de contrées qui lui restaient encore inconnues, tout en trouvant de nouveaux clients, et en apportant leurs commandes aux anciens. Elle élargit aussi ainsi ses connaissances, les confrontant à d’autres savoir-faire… Et son périple autour du globe, l’a mené un jour ici, à Pré-au-Lardsi proche de la célèbre école de magie anglaise. Sans doute pourrait-elle ici trouver de nouvelles techniques, de nouvelles matières… ou tout simplement de nouveaux clients…

CV :
Peut-on vraiment parler de Curriculum Vitae pour ce qui concerne le passé de la berbère ? Si on le lui demandait, elle répondrait qu'elle ne fait que suivre le vent. Et si elle devait donner plus de précisions ? Alors sans doute évoquerait-elle les contrées qui l'ont marquée lors de ses voyages. L'andalousie, tout d'abord, dont elle garde de précieux souvenirs de l'architecture d'inspiration maure, des danseuses de flamenco, et des sorciers qu'elle y a rencontrés, passés maîtres dans l'art d'enchanter les castagnettes pour rendre leurs utilisatrices plus envoûtantes, plus hypnotisantes encore.

Les chanteuses de Fado, au Portugal, leurs mélodies mélancoliques, accentuées par l'enchantement de leurs voiles de dentelle sombre. Elle se doutait que quelque pierre ou élément magique y avait été inséré, peut-être sous forme de poudre, mais personne n'a jamais voulu lui révéler le secret, et elle en garde une certaine amertume, car cela s'apparente à un échec... Mais elle a apprit tant d'autres choses déjà, que les artistes de Lisbonne peuvent bien garder leur mystères finalement.

Le travail et les propriétés de l'ambre lui ont été révélées par une petite communauté magique polonaise, près de Cracovie, et elle n'a plus quitté le pendentif qu'ils avaient confectionné ensemble de tout son séjour dans ces pays à l'hiver rude, pour se protéger des maux du froid.

Et puis des images des maisons colorées de Lüderitz, en Namibie, et du désert rouge du Kalahari, s'étendant jusqu'à l'Afrique du Sud, lui reviendraient en mémoire, ainsi que la Péninsule du Cap et ses eaux turquoises, et, surtout, leurs sorciers profitant de la richesse diamantifère du sol sud-africain pour fabriquer de puissants amplificateurs. Elle apprit là-bas d'autres propriétés de ces pierres si convoitées, qu'elle n'aurait jusque-là jamais soupçonnées, notamment dans le cadre des soins qu'elles peuvent apporter.

Enfin, elle parlerait sans doute de son séjour en Irlande, peu avant la fermeture d'Ascadia, des plaines verdoyantes de l'île et des eaux mystérieuses du Lough Corrib. Peut-être évoquerait-elle alors les propriétés des écailles d'être de l'eau, mais sans doute évoquerait-elle plutôt sa découverte de l'usage du cuivre parfois plus judicieux que l'or ou l'argent, et les enchantements de certaines harpes utilisées par des musiciens celtiques...
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Adam McAdam
Professeur d'étude des moldus
Adam McAdam


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MessageSujet: Re: Azur Tamazight, artisane   Azur Tamazight, artisane Icon_minitimeDim 10 Fév - 15:03

Et voilà la gazelle
Qui va se libérer
Vas donc gambader
Parmi les sauterelles
Ou répars les brisures
de ces objets, Azur !


Bienvenue dans la vie active et désolé du retard...
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Azur Tamazight, artisane
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